Gilbert PEREA est de tout cœur avec Nicolas SARKOZY
Coup de tonnerre et consternation dans le landerneau
politique français. L'ancien président de la République a été
mis en examen pour « chef d'abus de faiblesse à l’encontre de Mme
Liliane Bettencourt », jeudi dernier, par le juge Jean-Michel Gentil.
Il est surprenant que
l’homme, dont tout le monde annonçait l’élection à la tête de la magistrature suprême,
en février 2007, se soit confondu en abusant d’une vieille dame. Nicolas
Sarkozy n’avait certainement pas besoin de quelques milliers d’euros donnés
sous le manteau en catimini. En se remettant
dans le contexte de l’époque ; où toute une majorité de français se
battait pour le soutenir ; rappelons-nous qu’il n’avait aucune peine à
trouver de l’argent pour sa campagne électorale.
Mais, aujourd’hui, les
Français plébiscitent le retour de Nicolas Sarkozy aux affaires, moins d’un an
après sa courte défaite. Et voilà que la justice s’acharne et fait feu de tout
bois : affaire Bettancourt, affaire Karachi, affaire des sondages de
l’Elysée, affaire du dépassement de son compte de campagne…. Le petit Nicolas
ferait-il peur au monde politico-judiciaire (de sensibilité gauchisante) ?
Le Front
National, qui dans cette affaire est le
partenaire idéal du PS, sonne la charge en demandant son départ du Conseil
constitutionnel. Toute la Gauche est aux anges, l’allié objectif du « tout
sauf la Droite » fait le sale boulot.
Il est évident,
comme le dit le député des Alpes Maritime Mr Lionel Lucas :
« Mettre en examen un ancien Président pour abus de faiblesse sous
prétexte de financement de camp électorale est grotesque et en dit long sur la
justice… La seule chance pour François Hollande en
2017, c'est d'éliminer par tous les moyens, la possibilité de candidature du
seul adversaire qui peut le battre ! ».
Les
Français ne doivent y voir que des manœuvres politiciennes. Ce mauvais
coup de tonnerre, à l’évidence, ne réglera pas les problèmes des français. J’ai
une pensée toute amicale pour Nicolas Sarkozy, et je formule tout d’abord, une
exigence de retenue pour tous les observateurs, puis une relaxe dans une
affaire qui n’a ni queue, ni tête.
Gilbert
PEREA