samedi 23 mars 2013

Gilbert PEREA est de tout cœur avec Nicolas SARKOZY


Gilbert PEREA est de tout cœur avec Nicolas SARKOZY


Coup de tonnerre et consternation dans le landerneau politique français. L'ancien président de la République a été mis en examen pour « chef d'abus de faiblesse à l’encontre de Mme Liliane Bettencourt », jeudi dernier, par le juge Jean-Michel Gentil.

Il est surprenant que l’homme, dont tout le monde annonçait l’élection à la tête de la magistrature suprême, en février 2007, se soit confondu en abusant d’une vieille dame. Nicolas Sarkozy n’avait certainement pas besoin de quelques milliers d’euros donnés sous le manteau en catimini. En se remettant  dans le contexte de l’époque ; où toute une majorité de français se battait pour le soutenir ; rappelons-nous qu’il n’avait aucune peine à trouver de l’argent pour sa campagne électorale.

Mais, aujourd’hui, les Français plébiscitent le retour de Nicolas Sarkozy aux affaires, moins d’un an après sa courte défaite. Et voilà que la justice s’acharne et fait feu de tout bois : affaire Bettancourt, affaire Karachi, affaire des sondages de l’Elysée, affaire du dépassement de son compte de campagne…. Le petit Nicolas ferait-il peur au monde politico-judiciaire (de sensibilité gauchisante) ?

Le Front National, qui  dans cette affaire est le partenaire idéal du PS, sonne la charge en demandant son départ du Conseil constitutionnel. Toute la Gauche est aux anges, l’allié objectif du « tout sauf la Droite » fait le sale boulot.

Il est évident, comme le dit le député des Alpes Maritime Mr Lionel Lucas : « Mettre en examen un ancien Président pour abus de faiblesse sous prétexte de financement de camp électorale est grotesque et en dit long sur la justice… La seule chance pour François Hollande en 2017, c'est d'éliminer par tous les moyens, la possibilité de candidature du seul adversaire qui peut le battre ! ».

Les Français ne doivent y voir que des manœuvres politiciennes. Ce mauvais coup de tonnerre, à l’évidence, ne réglera pas les problèmes des français. J’ai une pensée toute amicale pour Nicolas Sarkozy, et je formule tout d’abord, une exigence de retenue pour tous les observateurs, puis une relaxe dans une affaire qui n’a ni queue, ni tête.

Gilbert PEREA