lundi 29 avril 2013

Le Gaullisme Social : une solution à la crise


Le Gaullisme Social : une solution à la crise


L’horreur de la crise est amplifiée par un Parti Socialiste toujours plus moralisateur. Cette gauche dogmatique et bien pensante veut niveler vers le bas, et créer ainsi une société de la pauvreté avec des inégalités extrêmes. Car, pour eux, vouloir entreprendre et engendrer de la richesse est un pêché. Il est de plus en plus évident que les élites « bobos » du politiquement correct gauchisant veulent un peuple d’assistés pour mieux le contrôler. N’oublions jamais que le fascisme est l’enfant naturel du socialisme.

Aujourd’hui avec François Hollande, le niveau de vie médian des Français a encore baissé, et en 1 an ce sont 440 000 personnes supplémentaires qui sont tombées sous le seuil de pauvreté (environ la population de l’aire Toulonnaise). Cette maladie honteuse qui s’appelle Pauvreté contamine un mineur sur cinq, et de plus en plus de femmes aillant perdus leurs conjoints. Avec les Socialistes, les plus pauvres  sont encore et toujours plus pauvres.

En moins d'un an, François Hollande est déjà le chef de l'Etat le plus discrédité de l'Histoire de la Vème République. François Hollande est discrédité politiquement, dans son incapacité à faire preuve d'autorité et à prendre les décisions courageuses pour la France. C’est donc un François Hollande critiqué par sa propre majorité, moins d’un an après son élection. C’est un Président de la république qui ne sert à rien. Le chômage explose dans des proportions inédites, le pouvoir d'achat ne cesse de reculer. Ce sont toujours plus de hausses d'impôts, qui étouffent les ménages et les entreprises. C’est une insécurité repartie à la hausse alors qu'elle était en baisse depuis 10 ans. Le champion des donneurs de leçon, François Hollande est discrédité moralement par des affaires qui éclaboussent tout un pays. Jour après jour l’imposture socialiste se dévoile à des Français qui souffrent et qui eux subissent la crise.

Depuis ma jeunesse, j’ai toujours été très attaché au patriotisme et donc aux valeurs du gaullisme que je redécouvrais au fil de mon parcours politique. Ces valeurs m’ont guidé au cours de mon engagement politique. Aujourd’hui, il m’apparait que le concept avancé et défendu par le général de Gaulle, il y a maintenant plus de 50 ans, reste parfaitement d’actualité et que nous devrions retourner indéniablement vers les philosophies du patriotisme politique et économique. 

J’ai fait mienne les valeurs de « gauche du travail et de droite des valeurs ». Il nous faut absolument réconcilier le capital et le travail. Le gaullisme social est la réponse à la crise du capitalisme que nous traversons. Je le crois. De toute évidence, ni le marxisme ni le capitalisme n’ont pu créer des sociétés justes et harmonieuses. La recherche d’une troisième voie est donc plus que jamais d’actualité. La Participation qui permet de partager à la fois les profits, quand il y en a, et la gouvernance de l’entreprise, me semble un outil de travail adapté ; ainsi qu’un facteur de cohésion sociale, comme le général de Gaulle l’avait bien compris.  

Il y a urgence à faire le choix de l’intérêt supérieur de la France, au-delà des partis, qui ne recherchent que des intérêts partisans. Il faut du pragmatisme et du bon sens dans notre façon de légiférer et de gérer les fonds publics. Il faut une sincère ouverture aux idées des autres ; et il faut surtout vouloir et savoir écouter les Français.

Le gaullisme est une philosophie certes, mais une philosophe d’action pour le Pays.

Aujourd’hui tous les indicateurs disent clairement que les peuples sont sacrifiés sur l’autel des politiques technocratique européennes. C’est une classe moyenne qui s’étiole,  broyée et attaquée par un système socialisant et mondialiste. Chaque mois le cortège infernal des suppressions d’entreprises, et donc d’emplois, s’alourdit. Nous devons refuser clairement, dès les prochaines élections locales, que la France ne soit  condamnée à devenir un pays de pauvreté et d’inégalités extrêmes.

NON, la France n'est pas condamnée au déclin !

Notre devoir est de rentrer en résistance pour infléchir la politique du gouvernement dans l'intérêt général. A La Seyne sur mer, en dehors de toute hégémonie des partis politiques, notre devoir sera de transformer les élections municipales de 2014 en premier acte de la reconquête du cœur des Français et du redressement de la France.

A  la Seyne, je compte sur votre mobilisation et votre soutien pour sauver notre ville, en attendant de libérer la France du joug des socialo-communistes !

Gilbert PEREA