L’anse de Saint-Elme pourrait être un petit paradis
L'anse
de Saint-Elme est confrontée à plusieurs problèmes persistants et récurrents :
- l'envasement majeur,
nécessitant actuellement un drainage par pelle autotractée, une fois par
an. Coût : environ 100 000 euros / an. de plus, les habitants sont
confrontés pendant plusieurs jours à de mauvaises odeurs, ainsi qu'à des
projections peu agréables.
- un problème
d'insuffisance de circulation d’eau, réduisant les courants naturels. D’où
une déperdition de sable au niveau de la plage de Mar-vivo, de l'autre
côté de la baie des Sablettes.
- la persistance d’algécos,
largement visibles par les riverains.
Ces préfabriqués appartenant aux diverses associations de voile et
activités marines présentes sur le site.
- des appétits de création
d'un port de plaisance renforcé, avec pléthore d’anneaux.
- des risques évident de
bétonnage à la limite Nord de l’anse. Le terrain militaire sera
probablement à vendre dans quelques temps, et le P.O.S pourrait très bien changer (actuellement zones boisées).
Un
projet est en cours d’étude concernant l'ouverture du chenal Nord, avec un
canal de dérivation, qui permettrait de recréer un courant maritime. Pour un
coût approximatif de 1,2 Millions
d’euros. Néanmoins, de l'avis d'une association de riverains affûtés que nous
avons rencontré ; ce serait un courant d’eau insuffisant pour éviter
l'envasement récurrent. Le débit du canal n'empêchera pas son ensablement, et
donc un coût élevé d’entretien. De plus, ce projet mené par la municipalité et
le conseil général, s'accompagnerait de la création d'un grand port de plaisance.
Gilbert
PEREA, et l’association d’intérêt local « SAUVONS LA SEYNE », refusent
le futur projet de bétonnage, assorti de la réalisation d’un port faisant la
part belle à de nombreux anneaux. Le petit port de pêche de Saint-Elme n’a pas
vocation à devenir une Marina avec son parking à bateaux.
Gilbert PEREA
propose, en concertation avec les riverains, le retour vers un petit port
authentique à Saint-Elme :
- abandonner le projet de canal,
et se contenter de créer une ouverture suffisante au niveau du chenal Nord (comme cela
existait par le passé).
- Cette ouverture ayant
pour but de faire circuler davantage l’eau, pratiquement comme à l'état originel.
Ce qui éviterait l'envasement et réglerait probablement le recul de la
plage de Mar-Vivo (les anciens l’avaient parfaitement compris).
- ne pas augmenter (ou
très peu) le nombre d'anneaux plaisanciers en favorisant la pêche
artisanale,
- enlever les algécos, et
déplacer les locaux associatifs sur la partie Nord de l’anse. En créant
des locaux en dur, adossés aux rochers limitant le terrain militaire.
- Et il sera hors de
question de construire quoi que se soit au Nord, sur les futurs Ex terrains militaires.
Gilbert
PEREA, et l’association d’intérêt local « SAUVONS LA SEYNE »,
s’opposent farouchement à tout " bétonnage " important, non intégré
et n'ayant pas reçu l'aval des riverains concernés et des CIL. Et encore davantage,
en zone littorale. Cela est valable pour Saint-Elme, mais également pour la
corniche du Bois-sacré, pour le quartier du croûton ....
Gilbert
PEREA sera toujours aux cotés des Seynois, afin de les servir au mieux de leurs
intérêts.
Gilbert
PEREA, et l’association d’intérêt local « SAUVONS LA SEYNE », veulent
sauver notre ville en priorité sur un plan
financier (baisse de la dette et des impôts), sur le plan de la
sécurité ; mais aussi et surtout sur le plan environnemental, et
celui de la qualité de vie.
« SAUVONS LA
SEYNE », c'est une association d’intérêt local, un slogan, mais c'est
surtout un PROGRAMME fait par des Seynois, pour une EXIGENCE Seynoise.
Dr
Olivier Leportois,
Président
de l’association « SAUVONS LA SEYNE »
et
soutien de Gilbert PEREA