lundi 20 mai 2013

L’anse de Saint-Elme pourrait être un petit paradis


L’anse de Saint-Elme pourrait être un petit paradis


L'anse de Saint-Elme est confrontée à plusieurs problèmes persistants et récurrents :

  1. l'envasement majeur, nécessitant actuellement un drainage par pelle autotractée, une fois par an. Coût : environ 100 000 euros / an. de plus, les habitants sont confrontés pendant plusieurs jours à de mauvaises odeurs, ainsi qu'à des projections peu agréables.

  1. un problème d'insuffisance de circulation d’eau, réduisant les courants naturels. D’où une déperdition de sable au niveau de la plage de Mar-vivo, de l'autre côté de la baie des Sablettes.

  1. la persistance d’algécos, largement visibles par  les riverains. Ces préfabriqués appartenant aux diverses associations de voile et activités marines présentes sur le site.

  1. des appétits de création d'un port de plaisance renforcé, avec pléthore d’anneaux.

  1. des risques évident de bétonnage à la limite Nord de l’anse. Le terrain militaire sera probablement à vendre dans quelques temps, et le  P.O.S pourrait très bien changer  (actuellement zones boisées).

Un projet est en cours d’étude concernant l'ouverture du chenal Nord, avec un canal de dérivation, qui permettrait de recréer un courant maritime. Pour un coût approximatif de 1,2 Millions d’euros. Néanmoins, de l'avis d'une association de riverains affûtés que nous avons rencontré ; ce serait un courant d’eau insuffisant pour éviter l'envasement récurrent. Le débit du canal n'empêchera pas son ensablement, et donc un coût élevé d’entretien. De plus, ce projet mené par la municipalité et le conseil général, s'accompagnerait de la création d'un grand port de plaisance.

Gilbert PEREA, et l’association d’intérêt local « SAUVONS LA SEYNE », refusent le futur projet de bétonnage, assorti de la réalisation d’un port faisant la part belle à de nombreux anneaux. Le petit port de pêche de Saint-Elme n’a pas vocation à devenir une Marina avec son parking à bateaux.

Gilbert PEREA propose, en concertation avec les riverains, le retour vers un petit port authentique à Saint-Elme :

  • abandonner le projet de canal, et se contenter de créer une ouverture suffisante  au niveau du chenal Nord (comme cela existait par le passé).
  • Cette ouverture ayant pour but de faire circuler davantage l’eau, pratiquement comme à l'état originel. Ce qui éviterait l'envasement et réglerait probablement le recul de la plage de Mar-Vivo (les anciens l’avaient parfaitement compris).

  • ne pas augmenter (ou très peu) le nombre d'anneaux plaisanciers en favorisant la pêche artisanale,

  • enlever les algécos, et déplacer les locaux associatifs sur la partie Nord de l’anse. En créant des locaux en dur, adossés aux rochers limitant le terrain militaire.

  • Et il sera hors de question de construire quoi que se soit au Nord, sur les futurs  Ex terrains militaires.

Gilbert PEREA, et l’association d’intérêt local « SAUVONS LA SEYNE », s’opposent farouchement à tout " bétonnage " important, non intégré et n'ayant pas reçu l'aval des riverains concernés et des CIL. Et encore davantage, en zone littorale. Cela est valable pour Saint-Elme, mais également pour la corniche du Bois-sacré, pour le quartier du croûton ....

Gilbert PEREA sera toujours aux cotés des Seynois, afin de les servir au mieux de leurs intérêts.

Gilbert PEREA, et l’association d’intérêt local « SAUVONS LA SEYNE », veulent sauver notre ville en priorité sur un plan  financier (baisse de la dette et des impôts), sur le plan de la sécurité ; mais aussi et surtout sur le plan  environnemental, et celui de la  qualité de vie.

« SAUVONS LA SEYNE », c'est une association d’intérêt local, un slogan, mais c'est surtout un PROGRAMME fait par des Seynois, pour une EXIGENCE Seynoise.

Dr Olivier Leportois,
Président de l’association « SAUVONS LA SEYNE »
et soutien de Gilbert PEREA