lundi 24 juin 2013

Libérer Nicolas, un martyr pour la Droite

Libérer Nicolas, un martyr pour la Droite


La condamnation d'un militant anti-mariage pour tous : quel est le message que veut délivrer la Justice ?

En effet, suite à une arrestation arbitraire lors d’une manifestation de droite, un manifestant a refusé à juste titre un prélèvement d’empreintes et un prélèvement d’ADN.  Jugé en comparution immédiate il s’est vu infligé 4 mois de prison (dont 2 fermes), et 1000 euros d’amende. Dans le même temps, les mêmes juges “infligeaient” des “avertissements solennels” et quelques peines de principe avec sursis, aux  bandits de grand chemin qui ont pris d’assaut le RER D, et détroussé les voyageurs !

Très souvent, des voyous coupables de graves délits ne sont condamnés qu’à des peines dérisoires et de dangereux délinquants sont laissés libres par les juges d’application des peines.

Devant son arrestation sans fondement, totalement arbitraire, le courageux Nicolas, brillant étudiant attaché aux valeurs de le Droite et de la Liberté, n’a légitimement pas accepté de se livrer à des prélèvements en l’occurrence totalement injustifiés.

Cela lui vaut la prison !

La condamnation de Nicolas relève à l’évidence de la non-indépendance idéologique, sinon politique de certains tribunaux. Le gouvernement de la France, qui n’est plus soutenu par la majorité du peuple, a perdu sa légitimité en détournant sa légalité au service de ce qui devient une véritable dictature gauchiste, qui est de plus en plus férocement antirépublicaine.

Ce jugement est d'autant plus incompréhensible qu'en même temps, les voyous qui ont tout cassé au Trocadéro courent encore. Quel est le message que veut délivrer la Justice ? Qui sont les vrais délinquants qui pourrissent la vie des honnêtes gens ?

L'émotion est grande. Le juge doit s'expliquer. Le ministre de la justice Christiane Taubira doit parler. Sinon, les Français ne croiront plus en leur Justice.

Libérez Nicolas ! C’est aujourd’hui l’exigence et le cri que poussent des millions de Français indignés qui souffrent et subissent cette justice à deux vitesses.

Gilbert PEREA