jeudi 12 septembre 2013

DROIT DE REPONSE GILBERT PEREA, SUITE A L’EDITION LA SEYNE, (N)ON DIT, DE VAR-MATIN DU 11/09/2013

DROIT DE REPONSE GILBERT PEREA, SUITE A L’EDITION LA SEYNE, (N)ON DIT, DE VAR-MATIN DU 11/09/2013 Et à tous ceux qui reprendraient l’article de Var-Matin


Le droit de réponse permet, en France, à toute personne, physique ou morale, "nommée ou désignée" dans un média de faire publier sa version des faits.  Ce droit existe en France, en fonction des médias, depuis la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, prévu à l'article 13.

La réponse doit être demandée dans les trois mois à compter de la publication de l'article ou de la diffusion. Le média a trois jours pour la publier ou la diffuser, délai réduit à 24 heures en période de campagne électorale. Il doit la présenter dans le même corps typographique. La diffamation en droit français est plus facile à invoquer lorsque le droit de réponse est refusé. 


Mme Bicais perd son sang-froid


En 30 années d’engagement public, je n’ai jamais été insultant ou injurieux à l’encontre d’une personne politique .

Mme Bicais, à cours d’arguments politiques, s’est jetée à corps perdu, dans un certain nombres de  contre-vérités :

·         J’ai quitté le FN, suite à un désaccord politique concernant : le « ni gauche, ni droite » et le « tout sauf la Droite » ;

·         La rupture avec DLR a été consommée car je soutenais la ligne pro-sarkozyste ;

·         J’ai rencontré uniquement Mr Daniel  Canepa, à sa demande, et en aucun cas je n’ai jamais rencontré Mme Bicais ou d’autres prétendants.

Mme Bicais  a effectué une diffamation caractérisée  sans jamais amener l’once d’une preuve. Diffuser la phrase suivante « quand la haine est une marque de fabrique » est très diffamatoire à mon endroit .

Je me réserve le droit de me pourvoir en justice contre Mme Bicais .

La diffamation est un concept juridique désignant le fait de tenir des propos portant atteinte à l'honneur d'une personne physique ou morale. La plupart du temps, il ne peut y avoir de diffamation que si l'accusation est appuyée par des contre-vérités. Ce type d'infraction existe depuis le droit romain. Le délit de diffamation peut être rapproché du droit à la vie privée, qui est équilibré avec le respect du droit à la liberté d'expression